L.K

Pour le voyageur habitué au décor de buildings, Windhoek n’est pas d’un intérêt primordial. Mais lors d’une randonnée, il découvrira des côtés attachants à même de l’amener à prolonger son séjour.

La capitale namibienne compte plus de 315 000 habitants et rassemble toutes les ethnies du pays. Le nouveau mémorial, quelques musées et surtout la rencontre du melting-pot namibien sont au rendez-vous.

C’est une ville qui a du charme à vendre. Elle paisible et propre. Elle ne correspond pas vraiment à l’image que l’on se fait d’une capitale africaine. Il faut y regarder de plus près pour découvrir une ville pétrie de contradictions fascinantes. Dans quelle autre ville la rue Fidel Castro mène-t-elle à une église luthérienne après avoir croisé l’avenue Bismarck.

Windhoek se trouve au milieu des montagnes, à 1 650 m d’altitude. Windhoek dégage une atmosphère presque champêtre, pleine d’arbres, de fleurs et de bush.
Les rues sont quadrillées à l’américaine. La vie touristique se concentre en centre-ville, avec le marché artisanal, les boutiques et les quelques monuments historiques.

La température oscille entre 25°C en juillet et 36°C de novembre à février. Mais la température des nuits est souvent très basse et d’avril à novembre, il gèle très fréquemment. Il pleut assez peu, surtout durant les mois d’été austral.

Windhoek dispose d’un aéroport international relié directement à Frankfort.

L’église de Windhoek, l’un des symboles de la capitale. (Photo: DR)